vendredi 27 février 2009

Jarring


Une Ville Sans Nom 455
Mise en ligne par YK.2

Cette forme immense -
Sortie doucement de la
Rupture - brûle par-dessus
Bord et malveillante s'en
Lave les mains - dans
Le sang et l'image déformée
Canne et tout le bordel
Attitude sur un banc
Entouré par l'idée d'un
Physique - sexy guerre
Sculpture - corporel
Gravé par instinct - avec
L'aide d'une fille sexy
D'un clipper sur la mer
D'une Stuyvesant vraiment
Trop légère - et reflète
Une intégrale condition
Se refaire une - à l'essence
D'un briquet tempête offert
Pour l'expérience - le feu
Sacré ce genre - la cruauté
Ou la parole sainte...

jeudi 26 février 2009

To Depart This Life


Cache-misère méta-


Morphose - victoire


Amère sur la montre -


La teneur obscène de


Ces détails - de ces trans-


Formations vêtues de


Noir - depuis le travail


D’un fou...pas une minute


De repos : inspire ce rythme


Damné - course et stéroïdes


Des muscles éprouvés on


S’en moque - on lâche


Tout ce qu’on a - sans


Répit - ne pas penser


Ne pas se retourner - les


Vivants brutalisés ce corps


En danger - le vice inquisiteur


Le moindre lieu...vas-y - c’est


Toujours forme humaine -


Des pendus des étrangers


Qui s’ignorent - échangés


Contre alcool - se remettre


En marche ne pas se re-


Tourner : sur les trottoirs


L’emprise inconnue - ces


Futurs dessinés l’écrin d’une


Suite acharnée - aux larmes


Invisibles - aux armes


Chimiques endormant la


Douleur - l’unique secours


L’unique rue arpentée sans


Répit - et ce coeur qui cogne


Demande sommeil et repos


Ta gueule ! La ville est si


Nette et ce litre de vin...


Ce nom est le mien


Sillages et ce litre de...


Simple consolation aux


Airs de grimace - masque


De silence et de chagrin


M’adresse et brutalise


Idée lancinante - tout de


Blanc...verra jamais la


Nouvelle...Ne pas penser


Se retourner...Ne répond plus

mercredi 25 février 2009

Raw Materials


Pas d’amour des clous


Vraiment l’ultime escale


L’horrible titre - vais


Creuser cette voie -


Sérénité : on aimerait


Qu’il soit pire qu’une


Saloperie d’histoire


Belle à faire pleurer


Vendue par cartons


Des clous ! Laide à faire


Peur - figure de proue


Clouée sur croix -


Comme branchée sur l’


Indésirable voltage


Tendue de partout


Tout est dit tout est là


Poussé par le très haut


Fils de l’espoir - et ces


Nuages poussés par


Chimère - l’ombre


Ailleurs sur balcons


Bercés par la fraîcheur


Le ciel redoutable - ce


Risque majeur - une


Personne et puis zéro


Quartier libre grand


Ménage - enfin quoi...


Vont ramener l’orage


Des odeurs bonnes ou


Mauvaises ? Elles n’


Effacent pas cette


Impression pointée


Comme une insondable


Menace - vais tirer le


Rideau - ouais j’vais


Faire ça - laisser parler


La poudre plus que ça


A faire : personne et la


Foudre...zéro - quartier


Libre...l’annonce faite


A...Oh c’est bon ça !


L’annonce étouffée


Dans sa brume...figures


Débordements chiens...


Rideau !

mardi 24 février 2009

Pub Crawl


Pour les actes et les


Bilans - jeunes associés


Fascinants mensonges


La grande esbroufe


Je te tiens par les -


Et tu me loues ce


Logement et tu me


Vires et tu m’allonges


Pour des miettes - sur


Le port - cargos routiers


Docks et domiciles -


Tout est bon qui sonne


Juste et pieux - dénote


Intrépide halluciné soir


De concert - on t’avait


Pris pour ce néant - un


Chouette compliment en


Vérité - au moins capable


D’égorger le vide de l’


Ouvrir et d’en sortir des


Pages - toujours mieux


Que de vendre des poubelles


Incendiées au bout des nuits -


Et de fuir après - de se


Pavaner comme un con


Avec des statuts minables


Qui ne disent rien - en


Clair : ce trajet en feu


Fixant ligne d’or au


Crépuscule - des ombres


On converse avec la fin


Des faux - le salaire du


Port : rebut des autres


Quartiers - il en reste


Encore - ils disent salut


Et tombent dans le coma -


Voilà - c’est leur vie


Ou l’esquisse de quelque


Chose - installée sur l’


Ecueil - you are next - le


Tour du propriétaire -


Oh Merde ! Dans l’oeil


Echarde en feu - ville de


Mer métropole d’hiver


Et des loueurs de chair


Objet - corpus - mortel...

lundi 23 février 2009

A Loaded Question


Tellement grise et satinée


Pèse une vie entière


Pas besoin d’y voir :


Ciel aucun repère et


Bitume ce bar fermé


Me dis qu’une prière


Ne sert pas - tout puissant


Si haut des poussières -


Que je vais devoir me


Démerder - comme cet


Air exhume si près


Des astres - mais de leurs


Eclats sur les crimes -


Comme ils transpirent


De leurs éclats sur les


Toits chargés d’antennes


Le souffle et le désir


Bien que voués à dis-


Paraître dans les vertiges -


Sale bouffeur de façades


Dans tes mains bordel


Le sel de la cité - que


Fais-tu avec ? Le projet


De tous ces gens qui


Peuplent en mordant -


Au commencement


Etait le guide et les virées


Pour le découvrir dans


Les percées profondes et


Les paroles satinées - non :


Plutôt méchamment délavées


Mais de leurs éclats on


Ignore le passé - pour ce


Qu’il dénonce en pure


Perte - ce temps-là est


Terminé - un truc au


Subway et de là compter


Les marques les points


Et les coups - néons bleus


Et rouges - du lisse enfin


Déchiré -

vendredi 20 février 2009

Flash Past


Une Ville Sans Nom 450
Mise en ligne par YK.2

Les voies coupantes
De la rive droite - avec
Dans l'air une lame
D'acier - à saisir l'éclat
D'un contresens - hors
De force - dans le but
Vérifier que t'es encore
Capable de - rue Vauban
Le bord d'une faculté
Bien entamée jusqu'au
Parterre - des oiseaux
Affamés ce type apparu
La chaleur d'un bouge -
Can you elucidate?
Ce parterre transformé
En piste pour tous ces
Paumés et des sportifs
Le seul visage entier
Ai cru à la lumière
Artificielle - à cette
Force aiguë dans l'air -
Intouchable mais bien
Visible et fixée dans
Le clair encore nourri...

jeudi 19 février 2009

Rugged Life


Puissé-je poursuivre


Combat contre soi


Ou capitulation - zones


Arrachées - tous ces détails


Qui en disent - vont droit


Dans le - pas graves ces


Désordres passagers


Des jours esseulés - re-


Paire d’un escroc on


Attend les hurlements


De plus en plus raide


Et étroit ce passage


La chaufferie détruite


L’idée de s’enterrer


Devant le - pour


Servir d’autres Dieux -


Devant le repaire - en


Fait y aller franco :


Bang ! Tous se règle


Ainsi - cash et violence


Le coup de la sortie


Non - comme une


Impasse - fait comme


Un rat - sentir la sécu-


Rité ce doux relent de


Prospérité - la sentir


Puis la détruire comme


L’ancienne chaufferie


Désordres voisins ne pas


Les écouter ou les mé-


Moriser - cette douce


Effluve d’accident - la


Question est : quand


Cela va arriver ? Bang !


Un petit mécanisme


Si doux à l’oreille


Quelque chose qui s’


Effondre mais lentement


Des jours esseulés dans


Le noir le noir - on


Etait préparés comme


Prévenus par un vent


Sur la ville - de ces vents


Qui font éclater les


Poitrines dans les rues


Etroites et sanguinaires -


N’est pas de ce monde...

mercredi 18 février 2009

To Limp Home


Un détour après


L’autre - moi qui


Allais si vite j’


Apprends à me


Laisser dépasser


Et presque bousculer


L’apprendre est-ce


Important ? Raconter


Des conneries marcher


Longtemps - polo noir


Blouson noir etc...


Boire un coup ici


Manger là - face à


Des escaliers - longue


Impatience - je sais


Toujours pas attendre -


Mais voitures manteaux


Sportswear restaurants


Occupent un espace


Jamais définitif : le


Temps d’y voir formes


Aspects couleurs - juste


Glisser sur cadre - et ne


Pas tomber - putain ça


Non - tomber sur le


Paradis des fissures :


Incroyable comme il


S’impose - volte-face


Dans le coeur et les


Jambes pressées - test


Emotionnel négatif -


T’es plus qu’un mauvais


Etat - les fondations pa-


Raissent solides je repère


D’où vient ce bruit de


Grillage - toutes ces choses


Oubliées négligées - aux


Balcons des centaines


Font défaut - arrestation


D’un caïd ouverture d’un


G-Star de nouvelles dégra-


Dations des grues à l’horizon


Pour ce nouveau - un max


De ces choses - un pas après


L’autre...

mardi 17 février 2009

Loss Leader


Objet corps impossible


C’est quand tu veux


Et sa région secrète


Mise à prix - cédée


Au plus offrant - où les


Chairs se consomment


Militant cette injure


Des êtres vivants - besoin


D’argent - et donc au plus


Vite : scènes intérieures


Des fenêtres sur sang


Engagées pour l’enfer


Exhibé - surprendre et


Laisser le souffle court


Comme après course


Et l’essence et la foule


En chaîne et le fer d’un


Rouge épais - sulfureux


Pour l’exemple et le front


Ecartelé - entre souffrance


Et le sacre - tant de per-


Ditions de couloirs en


Béton - chairs déchirées


Vertèbres en sursis -


Ce qu’il faut représenter :


Climat désolation de


Ces visages mi-apeurés


Mi-résignés - ainsi l’


Inconcevable prend la


Forme d’un signe sitôt


Disparu - d’où la peine


Et la rage déversées sur


Ville et ses beautés - que


Faire de ces troubles irréels


Trouant chairs et maisons -


Ce qui se passe d’innovations


Résidences privées et


Tortures libertés - où


L’intégral se noue dans


Langage dévoyé - tout se


Dit avant d’être tenté -


Comme expériences de


L’enfer et l’être vivant


D’en faire les frais - le


Physique abattu - livré


Supplices prétextes et


Monstrueuses et belles


Contemplations

lundi 16 février 2009

Give No Quarter


Une Ville Sans Nom 446
Mise en ligne par YK.2

Précipité désiré
Envolé - univers
Se brisant comme
Un vague silence -
Un programme et
C'est tout - un pro-
Gramme de poudre
Venant sur miroir
Absoudre les bleus
Pardon si l'éternité
Te déchire - le chant
Des générateurs à
Travers la grille d'
Evacuation - ce verre
Encore plein posé
Sur le rebord - quand
A la force de l'âge il
Partit - à ton âme qu'
Une machinerie et
Désaccord pourtant la
Dissolution - comme on
Enlève des vêtements -
Et la machine tournent au
Soir - anatomie d'une
Envolée - et relèvent les
Vols - traînés gravés
Sur interphones - d'une
Arme intimidée - it was
A bad buy -

vendredi 13 février 2009

With Reckless Abandon


Que chacun soit


Dépositaire d’une


Résurrection - non d’


Injustes renaissances


Comme des coups


De feu dans une porte


Parce que vous comprenez


L’abandon - connerie


Rien d’autre - de la


Cervelle congelée


C’est l’hiver vous


Comprenez - la tête


Entre les mains - les


Doigts discrètement


Ecartés - circonstance


Aggravante : à l’affût


Une allée nue - c’est


L’hiver vous savez


Qui s’éloigne - depuis


Des mois pas mis les


Pieds - ici la froide


Vision a dû prendre fin -


Finis les rounds - l’envie


De se promener à l’


Energie - parce que


Sinon rien : ça répond


Plus ou ça répond mal


L'énergie putain - un


Chat sur une poubelle


Abandonné sûr - rien


Connerie - les moments


Qui se lèvent et c’est


L’hiver alors ils sont


Froids - vous savez les


Mots prononcés en bas


Des immeubles - ou des


Cris et les moteurs -


Sûr qu’il a un cran


Coincé dans la ceinture -


Connerie - va se pendre


Aux barreaux à traîner


Comme ça avec des -


Dépositaire d’un autre


Brûlant de vie puis de mort


A voir des trucs respirer


Au bout de quelques


Heures : sortir - c’est


Idiot tu sais - trop tard


Fini c’est l’hiver qui...

jeudi 12 février 2009

Freaks


Si comme ravages


Pas le coeur - courage


Ouais : pas ce tapis


A la place géométrique


Attaque intime - du


Sang un peu sur la


Cuisse après la main


Enorme étrange acide -


Animée de si bon -


Jack qu’as-tu fait ?


De tous les innocents


Plus que des zombies


Des leçons bien sûr


Ouais - sans doute - l’


Art étrange d’y voir


Clair dans le noir


Classique sentence


Tombeau ouvert - un


Jour à l’envers - départ


Retour : sous des voiles


Abritant chemin vers


Gare - unique passage


Mal protégé du vent


Elément sur le feu


Première ligne et sain


Mais dangereux - bref


Contrôle sur la mer d’


Huile - Jack qu’as-tu fait ?


Tueur malgré ou bien -


Une chose encore : des


Sensations empoisonnées


On va dire ça pour être


Correct - manque une


Prise ou deux - non plus


Que ça - bel ensemble


Au-dessus de la mer -


Vraiment réussi avec ces


Fractures bien nettes - si


T’arrives à partir c’est elles


Qui te suivront toujours -


Peux pas imaginer plus


Beau carton d’invitation


Un cocktail très classe


Salon cosy tout ça - je


Déteste en fait - carrément -


Jack qu’as-tu laissé derrière


Toi ? Peux pas imaginer plus


Dingue - de sang facile


Et populaire - my God...

mercredi 11 février 2009

Blind Spot


Oh boy l’odeur


Indélébile flottant


Linceul invisible


Questions à la con


Sans bonnes réponses


Sauf des lieux pensés


De toutes pièces -


C’est que bon...alcool


Tabac télé - merde :


Alcool tabac télé


C’est quoi ça ? Ca


Vaut bien drogue


Alcool écran - drogue


Alcool écran : c’est


Pas pareil hein ? C’est


Ca ? C’est différent ?


Même envie de brûler


Sur place - de niquer la


Ville en lui tournant le


Dos - comme à la vie


Mais c’est toi qui chute -


Boy found murdered


Boy found murdered


Avant d’avoir fixé le


Monde - avec ça tu


Vas courir - véridique


Lève-toi et cours !


Ah ! Ah ! Ou le choc


Le choc des mondes -


Avec des monuments


Au milieu - et le regard


La respiration pour l’


Après - ce lieu au


Delà - il voyait quoi ?


Ce défilé de plaintes


Indécentes au milieu


De l’implosion - de tous


Ces chiens errants - les


Crocs dans cité du ciel


Aux tortures solaires


Oh boy l’odeur de l’


Implosion - la fumée


Invisible et les chiens


A la chasse - à la casse


Impérissable au fil du


Temps : juste hyper


Egarés - and so far

mardi 10 février 2009

Unforgotten


Tous y meuglent : faim !
Tous y beuglent : faim !
Ce froid qui se promène
Partout en ville - celui
Qui baise les corps si
Laids - qu’une idée alors
Devenir de marbre
Mais c’est pas joli
Joli - ne m’octroyant
Pas l’autorisation de
Détourner - les corps
Cassés ça va je connais -
Je regarde - putain je
Fais que regarder - mais
C’est déjà - faire défiler
La série des proverbes
Vite bordel : au hasard
Préférez mes instructions
A l’argent - et la science
A l’or...rien de faux ni
Détourné - continue ce
Périple dans les artères
Ultramodernes - achète
Et paye des trucs et revois
Ces physiques bizarres
Grille une cigarette et pour
Le réconfort m’enivre
De mon eau de parfum
Entre deux bouffées pas
Le répit attendu ni voulu
D’ailleurs - plutôt longues
Lignes mélodiques bien
Abîmées par des engins
Industriels connectés à
Cet immeuble - sa blancheur
Tenace - je refuse encore
De revoir ou d’entendre
Préfère la présence intacte
Et les heures sous l’effet
Tous y meuglent : faim !
Tous y beuglent : faim !
Et déferlent entourés par
Les bras tendus de la ville -
Maintenant comme s’il
Me disait...et ceux qui
Me cherchent me trouvent

lundi 9 février 2009

A Flood Of Light


City Of Gold 61
Mise en ligne par YK.2

Véritable ennemi ce -
Je trouve qu'il exagère
Qu'il en fait des tonnes
Et ce double qui hurle :
Jamais assez près de la
Condition ! Un jour qui
Ressemblera à l'heure
Dite - déjà la douleur se
Propage ailleurs - la salope
Mais je t'aime - je t'écrase
Tous ces faiseurs de vices -
Authentique : deviens ce
Beatmaker - cosmique par
La force des choses - c'est
Trop - trop arrosé trop
Evident - j'ai ce point de
Lumière quelque part -
Une qui s'éteint dans
L'ombre pleine de hargne
Pour des toits mitraillés
Par la grêle - saleté de
Zinc même si rien
N'est plus beau que
Cette forme d'équilibre -
De la terreur qui s'écoule
Pour une blessure - quelques
Insanités - floozie! - déluge
Et la morte nuit bientôt
Bientôt retour et je dis à
Ce flot : l'ombre passante
M'entraîne - venir et ne
Plus savoir qui est

mardi 3 février 2009

Undrinkable


Me sers une -
Entendez-vous ?
Me sers une pas
Si mal - hurlements
Atones et solitaires -
Solitaire pas si mal -
Un fond de cette cour
Domaine étrange
Bien caché fermé
Juste pour la prière
Seigneur éteignez cet
Abri - livrez-le aux
Démons - c'est nous
Les anges bien frappés
Sur une planche - le
Salut direct en enfer
Livraisons de noir
De croyances à la
Con de souffrances -
Supporte encore pour
Le fun - marketing
Direct : un ticket pour
Ce fils de radasse -
Salaud de crucifié
On a mangé pour des
Siècles - me ressers un
Fond de cette pisse
Tu chialeras moins -
Aimez-la ou brûlez-vous
D'ailleurs ça m'a frappé :
De rares paillettes sur
Le sol - et tu crois que
C'est des étoiles ? C'est
La grâce qui déteint c'est
La grâce qui déteint - et
Qui t'arrache la peau et
Qui t'arrache la peau -
Au suivant...
Amen !

lundi 2 février 2009

Clink Of Glasses


Le type me siffle

Doucement - bin


Voyons j’vais me


Retourner j’vais t’


Répondre - merde et


L’autre va perdre le


Contrôle de sa voiture


Volée - va m’foncer


Droit d’ssus - exploser


L’abribus et j’vais finir


Comme une putain de


Crêpe - mais j’bouge pas


Tant pis - ferai pas de


Malheureux - si peu -


Peut-être j’en sais rien


Vive le danger - serre


Les dents - l’autre crache


Doucement - hé ! C’est


Bon - veux rien : les poches


Vides ! Compris ? Oui ?


Non ? Jamais de crédit !


Encore un passage - oh !


Presque réussi à prendre


Son virage - vive la mort


Putain sont trop bons ou


Trop cons - j’en sais rien


Peux plus continuer comme


Ca - c’est tout un cirque :


Endurer - refuser - accepter


Faire son procès une analyse ?


Peut-être le problème ou la


Solution - le temps que les


Vapeurs s’évanouissent


Aller ! Sur les mains à


Présent - n’importe quoi...


Va tomber - oui ? Non ?


C’est plus un quartier


C’est un cirque avec les


Acrobates les bêtes fauves


Et tout - putain c’est dingue


Ohé ! Les enfants ! Ce soir


Du sang et des larmes !


Du sang et des larmes !


Peut-être le problème ou la


Solution - très belle figure


Superbe magnifique - un


Champion - surtout la


Chute - non rien vraiment


Fauché - lentement s’épuise...